La branche de la famille de Fayolle portait : « de gueules au chevron d'argent accompagné de 3 besants de même, au chef d'argent chargé de trois losanges de gueules ».
Individus isolés
Durousseau (Marie), née vers 1632, fut inhumée le 2 décembre 1712 à Saint-Saviol.
Durousseau (René), né vers 1642, fut inhumé le 17 septembre 1695 à Saint-Maurice-la-Clouère.
Durousseau (Jacquette), née vers 1650, fut inhumée le 6 octobre 1719 à Saint-Saviol.
Durousseau (Jacquette), née vers 1673, fut inhumée le 29 août 1744 à Saint-Saviol.
Durousseau (Philippe), né vers 1673, fut inhumé le 29 octobre 1763 à Saint-Saviol.
Durousseau (René), né vers 1679, fut inhumé le 18 octobre 1716 à Saint-Saviol.
Durousseau (Maurice), était prêtre en 1681, curé de Saint-Maurice-la-Clouère.
Durousseau (René), né vers 1642, fut inhumé le 17 septembre 1695 à Saint-Maurice-la-Clouère.
Durousseau (Jacquette), née vers 1650, fut inhumée le 6 octobre 1719 à Saint-Saviol.
Durousseau (Jacquette), née vers 1673, fut inhumée le 29 août 1744 à Saint-Saviol.
Durousseau (Philippe), né vers 1673, fut inhumé le 29 octobre 1763 à Saint-Saviol.
Durousseau (René), né vers 1679, fut inhumé le 18 octobre 1716 à Saint-Saviol.
Durousseau (Maurice), était prêtre en 1681, curé de Saint-Maurice-la-Clouère.
Filiation suivie
1. — Durousseau (Jean), écuyer, seigneur de Marandat, eut de Paule Bérenger, son épouse :
- Junien, qui suit ;
- Jean, prieur du prieuré de Saint-Maurice de Montbron, fut maintenu noble avec ses frères au vu de leurs titres, par sentence de l'élection de Cognac, le 22 décembre 1598 ;
- Maurice ;
- Pierre, mort avant 1541, laissant :
- Maurice, qui partageait le 28 juillet 1541, avec ses oncles les successions desdits Jean et Paule Bérenger ;
- Junien, qui suit ;
- Jean, écuyer, seigneur de Marandat, qui épousa, le 28 janvier 1589, Jeanne Frottier, fille de Pierre, chevalier de l'ordre du roi, seigneur de la Messelière, et de Yolande Voyer, créant la branche de l'Angoumois ;
- Pierre ;
- François, écuyer, seigneur de Ferrières, agissant au nom de ses frères et comme fondé de procuration de leur mère, faisait un transport au sieur de Bellaneau, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, en juillet 1582 ;
- Jacques ;
- Jacques, qui suit ;
- Jacques, qui suit ;
- Charles, baptisé le 15 juin 1664 à Saint-Maurice-la-Clouère ;
- Pierre, qui suit ;
- Louis-Charles, baptisé le 28 août 1669, prêtre et curé de Limalonges à partir de 1692, qui fut maintenu noble par M. de Maupeou le 30 avril 1698 et fut inscrit dans l'Armorial d'Hozier. Il fut inhumé le 11 juillet 1750 à Limalonges ;
- Jacques, baptisé le 17 août 1699 à Saint-Saviol ;
- Charles Louis Jacques, qui suit ;
- Philippe Casimir, baptisé le 12 février 1704 à Saint-Saviol et inhumé le 11 septembre 1712 au même lieu ;
- René Jeanne Simone, baptisée le 20 octobre 1702 à Saint-Saviol et inhumée le 12 janvier 1770 à Mairé-Lévescault (Deux-Sèvres), épousa, le 8 mars 1736, à Saint-Saviol, René de Rechignevoisin, chevalier, seigneur de Guron, né vers 1686 et inhumé le 9 décembre 1761 à Mairé-Lévescault ;
- Pierre, baptisé le 2 août 1707 à Saint-Saviol, chevalier de Saint-Louis, dit le "chevalier de Fayolle", major, puis lieutenant-colonel au régiment de Cambis-Infanterie, était, à la fin de sa vie, pensionné du roi en cette qualité, tant en considération de ses services que pour sa réforme. Il fut inhumé le 26 janvier 1788 à Saint-Macoux ;
- Jacquette, baptisé le 10 octobre 1708 à Saint-Saviol ;
- Marie-Charlotte, baptisée le 8 décembre 1736 à Limalonges, était, tout comme son frère Jean-Baptiste, pensionnée du roi, en considération des services du marquis Duquesne, leur aïeul ;
- Auguste Charles, baptisé le 3 mai 1738 à Saint-Saviol ;
- Diane, baptisée le 5 janvier 1740 à Saint-Saviol ;
- Pierre, baptisé le 9 avril 1741 à Saint-Saviol, fut capitaine commandant au régiment de Brie-Infanterie, et lieutenant colonel au service des États-Unis. « Pendant la guerre américaine », indique Henri Dechambe, « Pierre Durousseau de Fayolle accompagna La Fayette. Comme les cadets de sa famille, Pierre choisit la carrière des armes. On le trouve enseigne le 9 août 1760 à 19 ans ; une première fois lieutenant le 24 septembre même année. Remis sous-lieutenant par suite d'une nouvelle organisation, il est à nouveau lieutenant en 1763, capitaine le 28 octobre 1774 et était alors noté au régiment de Brie-Infanterie comme un fort bon officier, très instruit, ferme, très zélé et honnête. En novembre 1776, il obtint un congé de deux ans et partit comme volontaire avec quelques compagnons après avoir pris le titre de lieutenant-colonel. Il débarqua à Charlestown le 16 juin. Assez mal accueilli par l'armée américaine, il revint en France et débarqua à Lorient au printemps 1779 après une traversée assez longue et plutôt mouvementée. Mais La Fayette, revenu en France à peu près à la même date, plaida la cause des Américains et obtint l'envoi d'un corps de troupe. C'était la division Rochembeau qui, avec La Fayette, devait amener le 17 octobre 1781, la capitulation de Cornwallis à Yorktown et mettait fin à la guerre d'indépendance. Pierre Durousseau, qui avait repris son rang de capitaine au régiment de Brie-Infanterie, quitta de nouveau son unité pour embarquer avec La Fayette et quelques compagnons le 13 mars 1780. Il mourut à Boston le 26 juin 1780 » ne laissant aucune postérité. Il avait attesté que ses seuls héritiers étaient Pierre Chesne (époux de Marie Pissard, gendre de mes ancêtres Jacques Pissard et Françoise Bourloton), qui était le meunier de Comporté, à Saint-Macoux, Marie Chesne, épouse Frégé et les enfants de feu François Chesne, tous frères et soeur [1] ;
- Marie-Henriette, baptisée le 4 novembre 1742 à Saint-Saviol et inhumée le 19 novembre 1744 à Saint-Macoux ;
- André Guy, qui suit ;
- Jean-Baptiste, baptisé le 16 avril 1746 à Saint-Saviol ;
- François André, baptisé le 15 janvier 1774, à Limalonges ;
- Pierre Théodore, qui suit ;
- André Olivier Oscar, né le 16 août 1811 à Coulombiers, fut promu au grade de lieutenant de vaisseau en octobre 1844, décéda en 1847. Il était au siège de Saint-Jean-d'Ulloa comme élève de la marine sur l'Iphygénie, et fut recommandé pour l'avancement sur le rapport de l'amiral Baudin ;
- Marguerie Charlotte Émilie, née le 10 mai 1813 à Coulombiers, fut mariée le 31 décembre 1845, à Coulombiers, à René Louis de Falloux, baron de Falloux, baptisé le 20 janvier 1786 à Tours, fils de René Louis et de Marguerite Le Crenne du Pichard ;
- Charles Marie Paul, né le 9 octobre 1814 à Coulombiers et décédé le 4 mai 1815 au même lieu ;
- Louis Charles Gustave, lieutenant de vaisseau, naquit le 18 septembre 1816 à Coulombiers. Il fut l'époux de Marie Bérard des Glajeux, dont il eut :
- Yvonne, épouse de Roger de Rivière de la Mure ;
- Mathilde, épouse de N. de Gabriac ;
- Guy Hubert, qui suit ;
- Charlotte Françoise Alodie, née le 12 mars 1820 à Coulombiers et décédée le 20 avril 1877 au même lieu ;
10. — Durousseau de Fayolle (Guy Hubert), titré comte Durousseau, né le 12 février 1818 à Coulombiers, fut lieutenant colonel d'artillerie. Il fut reçu chevalier de la Légion d'Honneur le 31 octobre 1855, puis officier le 21 décembre 1866, et décoré des médailles de la Reine d'Angleterre et de Sardaigne. Il décéda le 14 mars 1896 à Coulombiers. Il avait épousé Pauline Virginie Clémentine du Verger, dont il eut :
- Hubert, né le 18 mai 1858 à Strasbourg, fut reçu chevalier de la Légion d'Honneur le 11 juillet 1900. Il était titré vicomte Durousseau, lorsqu'il épousa, le 7 décembre 1893, à Villers-devant-le-Thour, Marie-Julie de Gourjault, née le 27 mars 1872 en cette dernière commune, fille de Camille Hugues, baron de Gourjault, et de Laure Gabrielle Prilliers [2]. Il mourut le 10 avril 1928 ;
- Marguerite Marie Joséphine Joséphine Jeanne, née le 24 février 1861 à Strabourg et décédée le 7 août 1902 à Saujon, avait épousé, le 30 septembre 1882, à Poitiers, Louis Marie François Valentin de Ferry, né le 31 juillet 1852 à Paris et décédé le 11 janvier 1942 à Poitiers, fils de Louis Marie Alfred Valentin et Thérèsea Maria de Las Mercédès Josépha Anna Manuéla Merlin ;
- Élisabeth, née le 13 novembre 1862 à Châtellerault et décédée le 5 juin 1941 au château de Forgettes, comme de Saint-Savinien, avait épousé, le 19 avril 1887, à Châtellerault, Élie Quentin de Laage de Meux, né le 11 mai 1860 à Saintes et décédée le 6 février 1942 à Saint-Savinien, fils de Théophile Marie-Pierre et de Marie Élisabeth Louise Louveau de Larègle ;
- Mathilde Joséphine Marie, née le 2 mai 1872 à Châtellerault et décédée le 17 juin 1958 à Poitiers, avait épousé, le 10 avril 1893, à Poitiers, Alfred Constantin Maxime, Ansart du Fiesnet, né vers 1870 ;
Sources :
- Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, Beauchet-Filleau, 1ère édition, tome 2, p. 644 et 645 ;
- Monographie de Saint-Saviol, par Henri Dechambe, août 1945, publié dans le bulletin du 3ème trimestre 1976 des Amis du Pays Civraisien ;
- [1] d'après le Recueil historique, généalogique et héraldique des anciennes familles du Ruffecois, par Jean-Claude Vrillac, 2008 ;
- [2] Informations de M. Joseph Davenne ;
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire