1. — BARBOT (Jacques), né vers 1664, marchand à Périssac, est l'époux de Jeanne Coirat. Il est inhumé le 31 mai 1739 à Limalonges, à l'âge de 75 ans, ayant eu : 1) Marie, née vers 1694, qui est l'épouse de Fleurant Sicault. Elle est inhumée le 17 octobre 1754 à Saint-Macoux. 2) Jeanne, qui est l'épouse de François Mondion. Elle est décédé avant le 25 mai 1762, date du mariage de sa fille. 3) Françoise, qui est l'épouse de François Pingault. 4) Pierre, qui suit. 5) Magdeleine, née vers 1709, qui épouse, le 29 septembre 1733, à Limalonges, Pierre Massonnet, maréchal, fils de Pierre et de Jeanne Viges. Elle est inhumée le 18 mai 1746 audit lieu.
2. — BARBOT (Pierre), est l'époux de Jeanne Pingault, fille de François et d'Antoinette Picault, et est mort avant le 28 septembre 1721, date du mariage de sa veuve avec Jean Roy. De son union, il eut au moins : 1) Jacques, mentionné dans un accord entre son grand-père Jacques Barbot et Jean Roy, de septembre 1725, devant Berton, notaire à Limalonges, suite au décès de sa mère. Il est peut-être celui qui suit. 2) Pierre, mort jeune avant le dit partage.
3. — BARBOT (Jacques), marchand sabotier, né vers 1719, épouse, le 30 juin 1745, à Saint-Saviol, Marie Bouchet. Il meurt le 5 mai 1759 à la Mingotière de Saint-Macoux, où il est inhumé le même jour, ayant eu : 1) Jeanne, baptisé le 2 juillet 1746 à Saint-Saviol et inhumé le 20 octobre suivant audit lieu. 2) Marie, baptisée le 24 février 1749 à Saint-Saviol, qui épouse, le 30 juin 1771, à Limalonges, Pierre Brissonnet, sargetier, fils de Pierre et de Marie Rivault. Elle meurt le 1er mai 1807 audit lieu. 3) Jacques, qui suit. 4) autre Jeanne, baptisée le 4 septembre 1754 à Saint-Macoux, qui épouse, le 20 juin 1792, à Civray, Jean Magnan, fils de François et d'Anne Pautrot. Elle meurt le 31 janvier 1827 à Blanzay. 5) Jean, rapporté en § III.
4. — BARBOT (Jacques), sabotier, est baptisé le 16 février 1752 à Saint-Saviol. Il épouse, le 25 février 1783, à Saint-Macoux, Magdeleine Faidy, fille de Jean et de Jacquette Chaffault, où il meurt le 30 octobre 1828, ayant eu : 1) André, qui suit. 2) Jean, baptisé le 2 juillet 1785 à Saint-Macoux, où il est inhumé le 29 octobre suivant. 3) Pierre, rapporté en § II. 4) autre Jean, baptisé le 5 juillet 1789 à Saint-Macoux, qui y est inhumé le 20 août suivant. 5) autre Jean, baptisé le 10 janvier 1791 à Saint-Macoux. 6) François, né le 14 avril 1794 à Saint-Macoux. 7) Marie, née le 20 octobre 1795 à Saint-Macoux, qui y épouse, le 10 avril 1826, Pierre Moucherat, cultivateur, veuf de Jeanne Maumont, fils d'André et de feu Françoise Brothier. Elle meurt le 23 octobre 1857 audit lieu. 8) Jacques, né le 23 août 1799 à Saint-Macoux, qui y meurt le 6 septembre suivant.
5. — BARBOT (André), cultivateur et propriétaire, né vers 1783, épouse, le 23 septembre 1812, à Saint-Macoux, Marie Sicault, fille des feux Jacques et Marie Dubois, dont il eut : 1) Marie, née le 11 octobre 1813 à Saint-Macoux, où elle épouse, le 20 février 1843, François Brothier, cultivateur, fils de François et de Marie Bouyer. Elle y meurt le 22 février 1860. 2) André, qui suit. 3) Madeleine, née le 17 juillet 1818 à Saint-Macoux, qui épouse, le 21 avril 1846 audit lieu, Pierre Sableau, propriétaire, fils d'Antoine et de Louise Bonnin, veuf de Jeanne Pissard. Elle meurt le 25 septembre 1862 audit lieu. 4) Pierre, né le 4 décembre 1820 à Saint-Macoux, qui y meurt le 7 novembre 1821. Veuf, il se remaria, le 4 février 1823, à Saint-Macoux, à Marie Thibault, fille de Pierre et de Magdeleine Poitevin, soeur de l'épouse de son frère Pierre, et meurt le 17 novembre 1855 audit lieu.
6. — BARBOT (André), cultivateur, né le 27 novembre 1815 à Saint-Macoux, épouse, le 24 juin 1850, à Taizé-Aizie, Jeanne Lamit, fille de Pierre, propriétaire, et de feue Françoise Bouhier. Il meurt le 22 avril 1893 à Saint-Macoux, ayant eu : 1) Marie, née le 7 juin 1851 à Saint-Macoux, qui y épouse, le 1er décembre 1875, Fleurant Sicault, cultivateur, fils de Fleurant et de Marie Biraud. Elle meurt le 1er février 1893 à Voulême. 2) André Jean, né le 25 mai 1855 à Saint-Macoux et mort le 13 juin suivant audit lieu.
§ II.
5. — BARBOT (Pierre), cultivateur, baptisé le 16 novembre 1786 à Saint-Macoux, y épouse, le 19 février 1816, Magdeleine Thibault, fille de Pierre et de Magdeleine Poitevin. Il y meurt le 13 janvier 1822, ayant eu : 1) Madeleine, née le 9 avril 1818 à Saint-Macoux, qui y épouse, le 9 février 1841, Pierre Naud, propriétaire, fils de Jean et de Jeanne Rouzeau. Elle meurt le 23 février 1856 audit lieu. 2) Pierre-André, qui suit.
6. — BARBOT (Pierre-André), cultivateur, né le 3 mai 1821 à Saint-Macoux, épouse, le 17 octobre 1853, à Saint-Saviol, Françoise Béguier, fille de Charles, propriétaire, et de Jeanne Métayer, dont il eut : 1) Pierre-André, qui suit. 2) Eugène, cultivateur, né le 19 octobre 1857 à Saint-Macoux, qui épouse, le 31 janvier 1881, à Saint-Saviol, Éléonore Ralaud, fille de Louis, tisserand, et de Marie Thimonier. De leur union, ils eurent : a) Marie-Louise Eugénie, née le 25 octobre 1881 à Saint-Macoux, qui y épouse, le 14 septembre 1904, Georges Pierre Célestin Métayer, cultivateur à la Maison Neuve de Montalembert, fils de Pierre-Henri et de Marie-Angélique Métayer. b) un garçon né sans vie le 13 mai 1885 à Saint-Macoux. 3) Célestin, instituteur, né le 1er avril 1863 à Saint-Macoux, est instituteur adjoint à Limalonges, lorsqu'il épouse, le 26 novembre 1883 à Saint-Macoux, Marie Naudet, institutrice à Montalembert, fille de Jean et de Marie Pépin. Il est ensuite lui-même instituteur à Montalembert, puis à Saint-Pardoux, et enfin à Lageon. De son union, il eut : a) Célestine Marie, née le 2 décembre 1884 à Montalembert, qui est institutrice à Saint-Macaire-en-Mauges lorsqu'elle épouse, le 28 août 1905, à Lageon, Marcel Louis Antoine Marie Guilloreau, insituteur à Montfaucon, fils de Louis, aussi instituteur, et de feue Marie Pech. Elle meurt le 20 janvier 1957 à Brioux-sur-Boutonne. b) René Nicomède, né le 19 août 1889 à Saint-Pardoux, qui épouse, le 14 avril 1914, à Lageon, Marie Delouvé. Il meurt le 28 février 1950 à Niort.
7. — BARBOT (Pierre-André), né le 25 août 1854 à Saint-Macoux, est appelé à l'activité le 21 octobre 1875 et arriva au corps du 21e régiment des dragons le lendemain, puis passa à la 2e compagnie de cavaliers de remonte le 16 mars 1878. Renvoyé dans ses foyers le 20 septembre 1879, il est cultivateur à Puy-Pourrin, lorsqu'il épouse, le 10 novembre 1879, à Saint-Macoux, Marie-Clémentine Duboux, fille de Pierre et de Marie Mérine. Le 2 mars 1880, il est nommé gendarme ç cheval à la compagnie de la Vienne, puis à celle des Deux-Sèvres le 5 mai, et est installé à la caserne de Coulonges-sur-l'Autize, où naquit : 1) Marcel-Célestin, qui suit. Rendu veuf, il épouse, le 12 avril 1882, à Voulême, Jeanne-Adélaïde Gendreau, fille de Georges et de Madeleine Compain. Il est affecté à Sauzé-Vaussais, puis nommé brigadier à Saint-Flovier (Indre-et-Loire). Enfin, il devint garde-champêtre à Montlouis-sur-Loire. Du second lit, il eut : 2) Léa Clémence Julienne, couturière, née le 16 février 1883 à Coulonges-sur-l'Autize, qui épouse, le 6 février 1904, à Montlouis-sur-Loire, Louis Aimé Pierre Daviet, gendarme à cheval à Cormery, fils de Jean-Ernest et de Joséphine Nicolleau. 3) Edme Alexandrine Godeberte, couturière, née le 9 avril 1884 à Coulonges-sur-l'Autize, qui épouse, le 28 avril 1906, à Montlouis-sur-Loire, Auguste Fernand Badier, peintre en bâtiments, fils d'Auguste Hyppolite et de Florence Aymond. Elle y meurt le 19 août 1918. 4) Georgette Adélaïde, couturière, née le 9 décembre 1886 à Sauzé-Vaussais, qui épouse, le 4 septembre 1907, à Montlouis-sur-Loire, Marcel Nègre, gendarme à cheval, fils de Georges et de Joséphine Billault. 5) Albertine, institutrice à Montlouis, puis à Montreuil, née le 10 septembre 1889 à Sauzé-Vaussais, qui épouse, le 6 septembre 1913, à Montlouis-sur-Loire, son cousin germain Pierre Gendreau, instituteur à Latillé, fils de Georges et de Marie-Simplicie Debenest. 6) Pierre-André, instituteur à Montlouis, né le 3 avril 1893 à Saint-Flovier, qui épouse, le 1er mai 1919 à Montlouis-sur-Loire, Anna-Marie Bich, brodeuse à Tours, fille des feux Jacques et Madeleine Jung. Il meurt peu après, le 30 du même mois, audit lieu.
8. — BARBOT (Marcel-Célestin), né le 22 juin 1880 à Coulonges-sur-l'Autize, est soldat à Lunéville en 1904. Il est cantonnier à Montlouis-sur-Loire lorsqu'il y épouse, le 17 janvier 1914, Mathilde Mardelet, couturière, native du Blanc, fille de François et de Marie Gabillon. De leur union, ils eurent : 1) Marcel, né le 9 décembre 1914 à Montlouis-sur-Loire, où il meurt le 1er février 1919.
§ III.
4. — BARBOT (Jean), fils de Jacques et de Marie Bouchet (3e degré, § Ier.), baptisé le 4 mai 1758 à Saint-Macoux, est journalier à Civray lorsqu'il y épouse, le 10 nivôse de l'an VII, Marie Moreau, fille de Jean, jardinier, et de Magdeleine Tribot. Il meurt le 20 février 1829 à Saint-Pierre-d'Exideuil, ayant eu : 1) Antoine, qui suit.
5. — BARBOT (Antoine), domestique, né le 4 prairial de l'an XI à Limalonges, épouse, le 28 juin 1830, à Civray, Marie Lafond, fille de Jean, journalier, et de Marie Guidet. Il meurt le 18 juillet 1876 à Mazières-sur-Béronne (Deux-Sèvres) — source : Philippe Courtier — ayant eu : 1) Anne, née le 20 août 1831 à Civray. 2) Marie, née le 31 octobre 1833 à Civray et décédée le 30 novembre 1834 audit lieu. 3) Nanette, née le 18 février 1836 à Civray.
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